Musique traditionnelle et populaire japonaise
Le terme "musique traditionnel" est trompeur dans la mesure où il masque la diversité des musiques traditionnelles anciennes. Parmi celles-ci, on peut citer les formes orchestrales anciennes, comme le gagaku, qu'il est difficile de retrouver en France, mais aussi les petites formations, ou les récitals de solistes. Nous avons la chance, en France, de compter sur plusieurs musiciens de très haut niveau pour les instruments les plus courants : koto, shamisen, taiko... ou même shakuhachi, fué, nô-kan...
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Zeppin
"Zeppin" joue principalement un style de musique japonaise peu connu encore en Occident : le min'yô. Il s'agit d'une musique populaire, qui souvent accompagne les fêtes. Elle est donc enjouée et raconte des scènes de vie quotidienne de chaque région du Japon. Zeppinpeut fonctionner en duo ou en trio, accompagné ou non de danseuses. Musiciens : Emiko Ota (taiko, chant), Hideaki Tsuji (shamisen, chant), Mayu Sato (flutes shinobue, nôkan, shakuhachi) Plus d'information>>> |
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Outre des groupes constitués, nous pouvons également vous proposer des récitals et présentations d'un instrument en particulier, vous mettre en contact avec des musiciens japonais divers résidents en France.
Le koto
Le "koto" est sans doute l'instrument emblématique du Japon. D'origine aristocratique, il s'est peu à peu démocratisé notamment par son utilisation en accompagnement des théâtres Kabuki et Jôruri (ou Bunraku). Son son caractéristique rappelle la harpe.
Le koto peut être joué en solo ou en ensemble instrumental.
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Nous collaborons avec Gahô Takahashi qui interprète des morceaux traditionnels ou du répertoire contemporain, ainsi que ses propres compositions, ou Etsuko Chida, principalement dans un répertoire des chants courtois anciens.
Mais nous avons la chance, en France, d'avoir beaucoup d'autres joueuses de koto de talent. |
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Le shamisen
Le shamisen est un des instruments traditionnels parmi les plus connus du Japon. D'origine des îles Ryukyu, il a été introduit au Japon au XVIe siècle où il s'est rapidement répandu. Son faible encombrement en ont fait un instrument des spectacles et des voyageurs, plus populaire que le koto, avant qu'il ne s'impose comme un instrument phare de la musique japonaise.
Photo: Hideaki Tsuji
Le shamisen est un des instruments traditionnels parmi les plus connus du Japon. D'origine des îles Ryukyu, il a été introduit au Japon au XVIe siècle où il s'est rapidement répandu. Son faible encombrement en ont fait un instrument des spectacles et des voyageurs, plus populaire que le koto, avant qu'il ne s'impose comme un instrument phare de la musique japonaise.
Photo: Hideaki Tsuji
Les taiko
Les tambours japonais plongent leur origine dans l'Histoire. Il est bien sûr lié à la guerre, comme accompagnement des guerriers dans les temps anciens, mais ils ont aussi très tôt, dès l'Antiquité, liés aux cérémonies religieuses et aux représentations théâtrales (Nô...).
Aujourd'hui, des groupes de joueurs de taiko existent et tournent régulièrement à travers le monde en impressionnant le public par des spectacles qui tiennent autant de la performance visuelle et physique que de la musique.
Plusieurs joueurs et quelques groupes, plus modestes certes, existent en France mais dont certains sont de très bon niveau.
Photo: Emiko Ota
Voire page consacrée aux taiko >>>
Les tambours japonais plongent leur origine dans l'Histoire. Il est bien sûr lié à la guerre, comme accompagnement des guerriers dans les temps anciens, mais ils ont aussi très tôt, dès l'Antiquité, liés aux cérémonies religieuses et aux représentations théâtrales (Nô...).
Aujourd'hui, des groupes de joueurs de taiko existent et tournent régulièrement à travers le monde en impressionnant le public par des spectacles qui tiennent autant de la performance visuelle et physique que de la musique.
Plusieurs joueurs et quelques groupes, plus modestes certes, existent en France mais dont certains sont de très bon niveau.
Photo: Emiko Ota
Voire page consacrée aux taiko >>>
Les flûtes japonaises
Le Japon connaît plusieurs sortes de flûtes. La plus connue est sans doute le shakuhachi, en bambou et au son si caractéristique. Mais il existe aussi diverses flûtes traversières, le nô-kan, caractéristique du théâtre de Nô, etc.
Photo: Nozomi Kanda et Hideaki Tsuji
Le Japon connaît plusieurs sortes de flûtes. La plus connue est sans doute le shakuhachi, en bambou et au son si caractéristique. Mais il existe aussi diverses flûtes traversières, le nô-kan, caractéristique du théâtre de Nô, etc.
Photo: Nozomi Kanda et Hideaki Tsuji
Au delà du" traditionnel"
Autour de ces instruments traditionnels, de nombreux projets artistiques peuvent naître, notamment en contact de la culture occidentale. Il n'est pas possible de dresser une liste des propositions dans la mesure où les musiciens travaillent quotidiennement à en développer de nouvelles.
A titre d'exemples:
- Projet EIKI : musique folk japonaise et danse contemporaine (Emiko Ota, Julien Omeyer et Ikumi Togawa)
- Emiko & Kirisute gomen, formation où le shamisen (Hideaki Tsuji) et le taiko (Emiko Ota) pèsent de leur poids dans le son rock du groupe.
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A titre d'exemples:
- Projet EIKI : musique folk japonaise et danse contemporaine (Emiko Ota, Julien Omeyer et Ikumi Togawa)
- Emiko & Kirisute gomen, formation où le shamisen (Hideaki Tsuji) et le taiko (Emiko Ota) pèsent de leur poids dans le son rock du groupe.
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